sourire pour toujours
Je marche sans chercher.
Errer.
Parmi tous ces sourires, peut-être y-a-t-il celui de la tante Inès…
J’y viens, j’y retourne. C’est “mon“ cimetière.
Mes grands-parents maternels ont quitté la Calabre pour venir en France en 1923, mais des grand-tantes sont venues vivre à Gênes.
Alors, dans ces allées, c’est un peu la famille.
Ils sont là, ils me regardent.
Avec leur sourire sur porcelaine, éternels ou presque. Jusqu’au moment où le temps aura fait son travail.
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